о матери на фоанцузском
Borissovitch
Elle est venue de nulle part
et a disparu aussi – dans le n;ant.
Elle a travers; la vie comme une reine,
Elle pouvait r;gner sur le tr;ne !
Mais elle aimait l'ombre des for;ts,
l';tendue des champs russes,
la ros;e des herbes parfum;es du matin, plus pr;cieuses
que tous les joyaux,
comme des diamants, elle cueillait
les baies indig;nes de la terre
et nous les donnait ; pleines poign;es
comme de v;ritables signes d'amour.
Elle nous reviendra un jour
comme un brin d'herbe, une tige fine,
comme le saule pleureur de Virgileika*
, comme une chaude lumi;re dans sa hutte !
Elle nous offrira l'humidit; du printemps, Il nous donnera
; tous du jus de cerise ; boire,
Il nous accueillera avec le tintement des cloches
Devant le Temple qui conserve sa chaleur.
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