Alexandre Pouchkin. Elegie, 1830
Des siecles foux ou la joie s'eteint
On se voit souffrant comme si cuvant le vin.
Autant que la tristesse est enivrant
Mais mon chagrin - plus mur et desolant.
Mon chemin est gris. Attends
Que les malheurs et les miseres
De mon futur en pleine mer.
Tandis que je veux pas mourir;
Adore la vie, mes bons amis,
Pour en souffrir, flotter au vent
En pleins plaisirs, m'abandonnant
Dans l'harmonie des vers
Ou l'invention pleurant
Pourrais-je voir: a mon coucher-soleil
Aupres de l'etoile souriant, l'amour s'eveille.
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