Le migrant faux croyant
De son auto, sa coiffure, son ascension
Le parvenu blague, construit des poemes
S expose en sage, statufie au pentheon
Il montre pate blanche si le besoin en est
Humble devant ceux qui peuvent l aider
Ayant toujours soin de cacher le mal fait
A d autres, pour lui sans aucune utilite
Comme ses coups dans le pauvre parquet
Qui a subi son alcool, son travail bacle
Alors, il garde le salaire, et disparait
Ainsi, des gens comme lui vont a l eglise
Pour glaner des connaissances, des chantiers
Et recuperer de leur vanite souillee - la mise
Des billets avec interet, ses euros bien gagnes
Du haut de sa reussite, tout beau et bien hypocrite,
Il toise le malheur de ses victimes dans la mouise
Mains sales, bouche de miel, asperge d eau benite,
Des douleurs d autrui, de ses mensonges, il se grise ...
Et les siens en secret de s applaudir, o combien, ils l ont aide ...
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