La plume oubliee...
Comme a un reve d’enfant,
Peindre les paysages,
Chanter le printemps
Voila,
La maladie fait rage,
Te retrouve maintenant
En moi
Comme une corde tendue, a toi je m’accroche
Ne pas lacher, glisser dans la fosse de la nuit,
Tenir, face aux fleches que l’ennemi decoche,
Garder l’esprit, le coeur a flots, rester en vie …
Toi, la plume fidele, que j’avais delaissee
Je remercie le souffle qui te ramene a moi,
Puisses-tu de l’ange etre toujours inspiree,
Car la passion futile ne rime guere avec foi
Que jamais je ne delaisse le chemin du Sauveur, de l'eucharistie,
Seul remede qui peut soigner des heurts, donne un sens a la vie
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