Vladimir Vyssotsky

Toi, nouveau Galil;e  a l’;coute des mondes,
Hamlet  rentame  posant la  vraie question,
Tu restes a jamais le prodigue rhapsode
Qui  tant aima, souffrit, et flamba de passion.

Tu voulus le briser, le mur d’indiff;rence,
Mais n’eus pour t’appuyer que d’odieux  profiteurs
Habiles  a couvrir gras de complaisance
Et faire  leurs choux gras de ta  sainte sueur.

Ils ont tout calcule ta valeur, ton bagage,
Mais n’ont pu acheter ton ;me de battant !
Ils croyaient te berner, ces tristes personnages –
Tu les per;as  a  jour, impitoyablement !

Sache donc que ton chant  ne lassera quiconque
A choisi le chemin du bien, sans concession.
Pas pour les  snobs, le chant de ceux que ta musique
Fait exister  en v;rit; et en raison.

Toi, nouveau Galil;e  a l’;coute des mondes,
Hamlet rentame posant la  vraie question,
Tu restes a jamais le prodigue rhapsode
Qui  tant aima, souffrit, et flamba de passion.



Июнь-июль 1997
Перевод с русского на французкий Александр Карвовский, Москва


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