Idylle
Resonne au fond de l’eau,
Tel un carillon d’hiver.
Mais malgre' tout, j’espere.
Le souffle chaud de nos etreintes
S’enferre dans un bijou celte,
Et la caresse du lin
Sur nos peaux froides prend fin.
La trace ephemere des rimes
Serpente parmi les abimes,
La flagrance timide des heures
Est reprise par un petit coeur.
Exile's parmi les roses,
Perturbe's sans reelle cause,
Nous ne tenons qu’a un fil,
Et j’abandonne cette idylle.
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