Immaturite

Il y a des gens, qui ne veulent pas murir
Comme des fruits restants a l’ame toute verte…
Ils ont des preferences plustot de mourir
Que devenir matures dans leurs tetes…
Ils passent la vie a l’ombre de quelqu'un d’autre
Sans vouloir connaitre un vrai courage
De tout changer, a l’un moment ou l’autre,
Et pouvoir s’offrir un nouveau virage…
Ils restent prisonniers par leurs attitudes...
Sans meme concevoir qu’une liberte d’esprit
Peut leur permettre de sortir de leur solitude,
Qui les poursuit, en estimant la vie au petits prix…
Ils pensent, qu’en restant tranquille tout a l'abri
Dans le confort de la richesse d’un autre,
Ils preservent eternelement toute leur vie…
En oubliant que c’est une attitude des propres
Egoistes… Ils perdent comme ca, tout ce qu’elle fit
Des la naissance, toute  cette identite de la nature…
Et en manipulant des gens pour leur propre profit,
Ils font le mal, d’abord a cet etre immature…
Ils ne sauront pas, derriere de telle "intelligeance"
Que la souffrance, et le chagrin des proches
Ne remplaceront jamais leur pauvre dependance
De chaque desire de celui, dont ils s’approchent…
Ils ont une semblance de vivre dans bonheur
Mais, en realite, ils n’ont rien compris
Que toute tranquilite de leur chaque l’heure
Va couter tellement cher … Et en ayant ce prix,
Ils se mettront d'accord avec cette vie d’esclaves
Des biens des autres… De l’etat d’esprit,
Desquels ne sera plus le m;me. Et cet etat grave
Ne permettra jamais leur en sortir…
Ils ont compris, que toute tranquilite de leur etre
Peut etre sera rassuree a cette facon
Pour profiter la vie. Or, a leur heure a disparaitre
Il ne se souviendra d’eux, vraiment, personne...
Ils n’acceptent pas que tous leurs caprices
Sont relies a l’egoisme de la nature
Et qu’un jour, sans pouvoir voir tout en travers du prisme
Ils montreront leurs vrais visages dans une caricature.
C’est leur choix de preserver les attitudes des faibles
En se mettant dans l’esclavage tres volontaire...
Mais meme s’ils en profitent, en imposant ses regles,
Leur l’importance sera toujours, helas, tres secondaire…

©SMA Sobolevskaya Anastasia