Elle

Je vois la neige dans ses yeux,
Ses mains se croisent sur la poitrine,
Ses joues sont pales, ses traits sont vieux,
Sa peau est faite comme de farine

Je nesais plus si elle est la
Si son esprit n’est pas peri.
Mais son regard baigne de mort
M’emporte soudain vers l’infini


Ses yeux me disent: “Vous, etranger!
Je n’vous aimais une seule seconde!
Je n’voulais pas que vous sachiez
Les labyrintes de mon monde…”

J’ai peur, je fais les signes de croix,
J’appelle le Dieu dans mes temoins…
Mais elle, je n’entends plus sa voix,
Elle va se taire infiniment…

                посвящено антиобразу


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