Vous

Retrouves moi un jour, quand je « t’oublierai »
Et tu verras mes yeux que sauront pas mentir
Tu sentiras ma bouche qui touchera ton cou
Et j’lierai nos vies et je t’appellerai « Vous »
Vous me plaignez ainsi, ou vous m’aimez autant
Que vous m’avez jugE comme « ma future femme,
Qui m’attendrait sans cri, qui m’attendrait sans temps
Mais quelle soit rEcompense !.. » mais je t’embrasse mon Sir
Et plus que tu n’le penses je continuerai pas souffrir,
J’embrasse tes coudes et joues et je t’appelle l’amour,
L’amour qui parfois se joue , l’amour qui court, qui court..


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