Il etait un soir dans ton cafE aimE
tu m’as aidE de m’assoir et es sorti pour fumer
dans la rue oU la neige tombait assez fort
sous les chaussures des passants qui le tapaient sans remords
tu as senti froid et es revenu chez moi
en m’apportant du thE plein de naivetE
et tu tenais mes mains mais c’Etait en vain
t’Etais tendre comme renard mais c’Etait trop tard
et si..si je savais ce soir-lA dans ce cafE
que tu ne me sauverais plus
que c’Etait une conte de fEe
dont je m’souviendrais en retenant A peine mes larmes
qui me soutiendrait, qui deviendrait mon arme,
je ne te dirais rien sauf les mots « tu es mien »
sauf les mots « j’ te retiens »
et que la neige fonde ! je te rechaufferais..
mais on est montE des chaises et s’est embrassE, navrE..
si je savais, chEri, si je savais..
Si je savais
© Copyright: Ульяна Сергеева, 2009
Свидетельство о публикации №109051900321
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