Les souvenirs
Donnant les forces pour vivre.
Je ne reconnais plus ma vie –
Sans toi j’etais plus libre.
Tu es calin et tes tendresses
Pour moi sont comme les chaines :
Je suis l’oiseau qui dans ta cage
Cherche la mort prochaine.
Je te souviens quand tu caresses
Mes cheveux baisant les levres
Et ton souffle, tes mains et tout
De quoi j’avais la fievre .
N’importe que je vais mourir
Oui, je m’en fous...peut-etre,
Parce que sans toi je ne suis plus
Tout а fait moi, mon maitre...
/20.06.04/
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