Les vers francaises a Quelqune
Je prie: Retire-toi! Oh, ma tristesse…
Mon Dieu! Reponds, trouverai-je
une paix bientot?
Helas! Elle ne m’aime plus, ma belle princesse,
Et, en pleurant, je baise son vieux photo.
1985
* * *
Je pleur de l’amertume, oh, mon amour,
Elle souffre, mon ame… Mon Dieu!
Tous les gens ont la vie telment simple.
Un des claires jours
Elle m’a fait ses adieux…
1985
* * *
Je suis ravi de toi,
Et je pense de toi tous les jours de semaine;
Pourquoi, expliques-moi,
Mon Dieu m’a donne tous cela?
De nouveau j’ecris, oh, ma cherie,
Pour toi mes vers et mes lettres,
Je souffre, je pleure et tu ris,
Mieux mourir et jamais ne plus etre.
1985
Une imitation de Jacques Prevers
Je ne te veux pas,
Je ne veux personne, mon amie;
Je voudrais rester seul,
Absolument seul,
Et boir le vin,
Assis pres du feu,
Ecouter le silence.
. . . . . .
Mais je ne peu pas
Rester seul.
Autour de moi ya des hommes.
Et les hommes, cest l’enfer
Comme M-e Sartre a dit.
Et je me sens tres mal.
Et je veux mourir.
1986
* * *
Je ne t’aime plus et je t’oublie,
Tout est fini. A bientot…
Tu pleures? En vain, oh, ma jolis –
Qu’est-ce que tu as pense plus tot?
1986
J A M A I S
Je fais mes adieux a toi,
Tu fais tes adieux a moi,
Helas! Je dois m’en aller je men vais
Et rien ne changera.
Et mes lettres ne changent rien,
Et mes mots et mes larmes,
Tu me quittes, je dois m’en aller
Tous le monde est noir autour de moi.
Je ne te verrais jamais,
Tu ne me verras jamais,
Tu comprend? Jamais, a toujours
Nous sommes morts l’un pour l’outre.
Tu as fait ton choix et je resterais seul,
Reviens chez moi je t’implore…
. . . . . . .
J’essais comprendre
le sens de ce mot – JAMAIS.
1986
LA FATALITE
J’habite avec toi dans cette ville
A l’heure quand le soleil se couche,
Il me suffit de te telephonner,
Et dire que je t’aime.
J’habite avec toi dans cette ville,
Mais il me semble parfois,
Que tu habites sur une autre planete
Et les siecles nous separent.
Il me suffit de te telephonner,
Et dire que je t’aime,
Mais je ne fais pas cela
Et je ne le ferais jamais.
Car il y a des choses,
qui sont plus puissantes que nous,
Il y a des choses,
qui me font faible comme un enfant.
Je suis pret a mourir pour toi,
Mais ca ne change rien dans la vie.
Et toujours je suis condamne
a pense de toi.
Et encore une fois je regarde ton photo
et je pleure.
1986
Свидетельство о публикации №101031000220